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박물관 전시회

Café avec des plantes

JOHAN CRETEN. JOUER AVEC LE FEU

samedi 23 mars 2024

dimanche 29 septembre 2024

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Le Musée des Beaux-Arts d’Orléans invite pour sa deuxième exposition de sculptures monumentales le sculpteur de renommée internationale Johan Creten à investir l’espace public et le musée.

L’exposition Johan Creten. Jouer avec le Feu s’articule en deux volets qui mettent en lumière quarante ans de production artistique de l’artiste belge en entrant pour la première fois dans son processus créatif, à partir des sculptures présentes dans la ville et dont le visiteur découvre au musée la fabrique à travers les dessins, études préparatoires et variantes.
Cette immersion captivante offre une exploration approfondie de son travail, dévoilant des décennies d’inspirations et de créations à travers ses oeuvres emblématiques et de nouvelles pièces.

AU FIL DU MUSÉE DES BEAUX-ARTS
Les salles du musée abritent les prémices de cette aventure artistique. Les quatre cabinets d’arts graphiques révèlent pour la première fois 73 dessins qui font pénétrer le visiteur dans le processus créatif de l’artiste. Ces dessins sont confrontés aux études préparatoires permettant de suivre le travail mené depuis les années 80 jusqu’à nos jours.
Ils sont accompagnés d’objets, de maquettes et d’études en céramique et en bronze qui dévoilent les racines profondes des principales sculptures de l’artiste, offrant un témoignage visuel unique de son évolution artistique, jusqu’alors peu abordée dans les expositions qui lui ont été consacrées.
Un ensemble de sculptures en céramique complète cette exploration au gré du parcours des collections, en dialogue avec les oeuvres du musée.

DIALOGUE URBAIN
La première rencontre du visiteur avec l’oeuvre de Johan Creten se fait dans l’espace public, où l’artiste investit jusqu’à l’été 2025 les rues d’Orléans avec 10 sculptures monumentales en bronze qui s’installent sur les places, dans les cours, les parcs et devant la majestueuse cathédrale.
À côté d’oeuvres célèbres, comme la grande Chauve-souris, déjà présentée à Rome à la Villa Medicis, et à Paris devant le Petit Palais, l’exposition dévoile des fontes inédites réalisées pour l’exposition, comme La Grande Sauterelle et La Mouche Morte dont la présence imposante amorce un dialogue artistique empreint de discours écologique.

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